Devinez où j'ai ramassé de la compote?

Au plafond.

Même en voulant garocher de la compote par exprès, je suis pas certaine que j'atteindrais le plafond.

Mais elle. OUI. ELLE. CHARLIE. (ARGH!)

Elle a réussi ça haut la main. Plancher, plafond, plateau, vêtement.

Pourquoi pas?

***

J'ai adoré grimper sur un escabeau pour aller essuyer ça. Formidabele.

Tout ça dans un temps relativement restreint, parce que ce matin, j'étais bénévole à l'école de fiston pour faire des étoiles au pochoir. Et j'y retournais après dîner.

***

Des étoiles, des centaines d'étoiles. (Je n'ai même pas fini un côté de corridor.)

Au moins, tout le monde était très enthousiaste.

Élèves, professeurs, concierges.

Je me demande s'ils vont me faire une ovation debout au spectacle de jeudi?

Comments

[Joelle]

Je vois tout à fait ... ça commence par un nettoyage et cela finit par un coup de peinture parce que le nettoyage n'a fait qu'aggraver la zone ... heureusement, cela s'est bien passé !!!

[Charlie Bobine]

Pendant quelques secondes, quand j'essuyais les dégâts, j'ai eu peur que les traînées brillantes (laissées par le torchon mouillé) demeurent visbles sur le plafond mat. (C'est rare qu'on lave les plafonds, hein? Mdr!) Et je pestais sans retenu: «s'il faut repeindre le plafond, je réponds plus de moi!!!»
Mais, finalement, tout a séché, tout propre, sans traces brillantes: FIOU!!

[Joelle]

Ha ha, cela me rappelle mes débuts dans la Marine où des jeunes (et largement plus vieux que Charlie !) s'amusaient à "coller" des petits suisses (un genre de yaourt s'approchant d'un fromage blanc et assez compact) au plafond du réfectoire ... je peux te dire qu'on regardait systématiquement les plafonds avant de choisir sa place pour déjeuner, des fois que des choses tomberaient du ciel pendant le repas ! mdr !