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Hier, lundi, à ma joie de devenir propriétaire (officiellement) s'est greffée le choc des frais de notaire.
Nous estimions (quelle bonne blague) que la transaction serait moins dispendieuse que la première fois. Hélas! (Il semblerait que les frais de publication aient augmentés. Entre autres choses.) Le gros de l'affaire étant que nous avions en fait 3 transactions. Outch!
Peut-être aurions-nous été plus philosophes devant ces coûts si nous n'avions pas été sonnés juste avant par nos frais au garage? (Je taierai le montant pour protéger vos chastes oreilles.)
Nous tentions de lécher nos plaies en silence, au retour. (Après de rapides -mais néanmoins efficaces- courses de la semaine que nous avons faites le coeur lourd.)
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Puis, la transmission a eu une raté. Importante la raté, hein.
[Si vous me suivez toujours, non seulement nous venions d'être taxés de sommes importantes pour notre mini-fourgonnette (de merde) mais en plus, ce n'était pas ça. Le problème n'était pas réglé.]
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Mon Cher-et-Tendre est en ce moment au garage. Encore.
En tout cas, il fait beau aujourd'hui. Un beau soleil canadien. (hem-hem)
Vous vous rappelez la parabole de la vache sacrifiée? Je ne me la rappelle pas dans son entier, mais en gros, pour épargner la mère, Dieu sacrifie la vache (pourtant nécessaire à la famille). Quelque chose comme ça.
Je sais qu'il y a pire. Pire que ce que j'aie affronté ces dernières années. Et qu'il y a peut-être une raison, au-dessus de tout ça, pour que nous casquions encore en frais de garage. Hum.
Je vais penser à ça en faisant ma sauce à spag.